In the on-going series of images and texts by Jean-Louis Vincendeau he proposes the story of Fevronia, inspired by “The Legend of the Invisible City by Kitezh and the Lady Fevronia”, an opera by Rimsky-Korsakov, here in a version by the Netherlands Philharmonic Orchestra.

Fevronia lives in the forest. Prince Vsevolod met her while getting lost on a hunting trip. Very soon he falls in love with her. Later, during the wedding festivities, we learn that the Tatars are approaching and want to attack the city of Kitezh. Thus, to salvage this beautiful story, for the accomplishment of this enigma, a miracle occurred and the city became invisible.

Here our Fevronia is renewed, she finds herself as an African statue and is surrounded by rustic wood and patinated palisades, which are themselves greyed by the sun and the sea air.

Undoubtedly, but not very often, other ladies, just like Fevronia, meet a prince in the forest and make the city of their wedding disappear?

Last red house / Dernière maison rouge

Fevronia, retour à la ville de Kitège

« La Légende de la ville invisible de Kitège et de la demoiselle Fevronia » est un opéra de Rimski-Korsakov.

Fevronia vit dans la forêt. Le prince Vsevolod la rencontre en se perdant à l’occasion d’une partie de chasse. Très vite il en tombe amoureux. Plus tard, au cours des festivités du mariage, on apprend que les Tatars s’approchent et veulent attaquer la ville de Kitège. Ainsi, pour sauver cette belle histoire, pour l’accomplissement de cette énigme, un miracle se produisit et la ville devint invisible.

Ici notre Fevronia est renouvelée, elle se retrouve en statue africaine et est entourée du bois rustique et patiné de palissades, elles mêmes grisées par le soleil et l’air marin.

Sans doute, mais peu souvent, d’autres demoiselles, tout comme Fevronia, rencontrent un prince dans la forêt et font disparaître la ville de leur mariage ?